MATHILDE s'était, en fait, habituée aux tortures et humiliations quotidiennes dont elle était victime depuis deux ans qu'elle avait rejoint cette école. Maintenant alors qu'elle se tortillait sur son petit siège, ressentant les deux olisbos gonflables qui se pressaient au fond, à la fois de son sexe et de son anus, elle se demandait ce que le futur lui réserverait. Ses tétins, constamment en érection, suite à des années d'intenses exercices d'étirement, ses tétins donc, transparaissaient au travers du tissu de son chemisier d'écolière en coton. Et, à chacune de ses inspirations, sa poitrine volumineuse se relevant, elle ne pouvait ignorer la sensation de douleur aigue que lui procurait la mise en tension de la chaînette reliant les piercings de ses deux bouts de seins à l'anneau transperçant son clitoris, au travers d'un petit tube, cousu sur le devant de son corset. Après tous ces mois, sa taille avait, en effet, été réduite à un tout petit 45 cm par un horrible corset en cuir entièrement baleiné par des lames en acier rigide, que son chemisier avait du mal à camoufler. Le contraste entre son tour de taille et celui de sa poitrine était incroyable ! Contrairement à toutes ses camarades de classe, dont les seins commençaient à peine à pousser, MATHILDE devait elle supporter pour toujours ces immenses nichons comme signe de sa soumission. De plus, avec sa taille toujours maintenue la plus fine possible et son apparence générale de frêle petite fille, le corps de MATHILDE semblait disproportionné et ce de manière assez grossière.
Son esprit se mit à
vagabonder, elle savait qu'elle devait faire très attention à
son attitude et ses gestes, bien qu'elle allait quitter définitivement
cette classe et qu'elle la voyait pour la dernière fois. En effet,
l'un de ses professeurs était un homme plus que strict et sévère
et il ne manquerait pas de dénoncer la moindre de ses fautes à
son père. Son père qui, elle le savait, n'hésiterait
pas à la punir de manière telle, que personne dans sa classe
ne pouvait même l'imaginer dans ses pires cauchemars !
Alors que la cloche de cette dernière journée allait sonner,
MATHILDE ne put s'empêcher de ressentir comme une perte, un chapitre
de sa vie était entrain de se terminer et elle n'y pouvait rien !
La cloche retentit et sortit MATHILDE de ses noires pensées. Elle s'écarta alors de sa petite table en se glissant sur le côté, puis se releva et se mit debout sur ses escarpins à talons aiguilles vertigineux. Elle devait marcher sur des talons de plus de 16 cm de haut. Un autre élément vestimentaire qui, à la fois l'excitait et la mettait plus que mal à l'aise vis-à-vis de ses camarades de classe. Une fois debout, perchée sur ces talons vertigineux, tout son poids reposait sur ses frêles orteils, forçant ses pieds à former, presque une ligne droite avec ses mollets étirés et tendus. Elle portait, naturellement les mêmes petites soquettes que ses camarades, sauf que sur elle l'effet était tel que tous les regards, tant des hommes, que des professeurs femmes se retournaient sur son passage, lorsqu'elle remontait les couloirs de l'école. Sa jupe écossaise, l'uniforme de toutes les filles, semblaient sur elle, également beaucoup plus courte.
Heureusement, sauf si elle se penchait en avant, personne ne pouvait apercevoir la lanière en cuir qui courrait entre ses cuisses et qui maintenait en place les deux godemichés en elle, ou les deux ballonnets de gonflage qui pendaient lamentablement entre ses cuisses. Par moment, alors qu'elle marchait, elle pouvait percevoir le léger tintement que faisaient les cadenas, qui fermaient sa ceinture de chasteté, contre le métal. Elle avait cependant grandi en s'habituant aux stimulations électriques que provoquait le vibrateur placé juste contre son clitoris. Dus aux progrès de la longévité des batteries, MATHILDE pouvait, maintenant, être sure que les impulsions dureraient tout le temps qu'elle passait à l'école et jusqu'à ce qu'elle retourne à sa maison. Elaboré afin de vibrer, puis de s'arrêter, sans cesse, tout au long de la journée, l'appareil maintenait MATHILDE toujours à la limite de l'extase. Ainsi, ses joues étaient souvent roses de plaisir et tout un chacun attribuait cet état de fait à sa candeur juvénile, alors que c'était, en réalité, du à son état d'excitation sexuel permanent.
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