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ceinture de chasteté en acier

Chapitre 1 : Le machisme a ses limites

Mme LEYMEN SOPHIE Médecin à la clinique de chirurgie réparatrice de Munich, 37 ans
M. LEYMEN Christian Directeur d'une société d'emballage française implantée en Allemagne, 40 ans
Leurs filles ASTRID 13 ans
SEVERINE 17 ans

Leur bonne, femme de ménage SOUAD MEKRI, femme divorcée d'un chirurgien algérien

Amies de SOPHIE HELENA, Endocrinologue
CORA, infirmière réanimateur

Associé de Christian GEHRARD WEINBERG
Psychiatre Dr MARC WEBER
Professeur Dr KLEIN, directeur de la clinique
Christian Parrain des deux filles


SOPHIE a suivit son mari en Allemagne. Elle vient à peine de retrouver un poste dans une clinique privée. Une fois de plus, elle a du céder aux caprices et exigences de son mari et abandonner sa place de jeune chirurgien à l'Hôpital Laennec de Paris. Alors qu'elle avait déjà trois ans de retard sur ses anciennes collègues, elle allait encore perdre du temps dans son apprentissage et sa carrière de praticienne. De plus, elle avait du accepter un poste bien modeste dans cette clinique de chirurgie réparatrice, comme chirurgien esthétique pour femme de la bonne société munichoise. De plus, la barrière de la langue faisait qu'elle avait encore du mal à s'exprimer face à ses collègues. Elle se contentait alors de faire ce que les autres ne voulaient pas : elle liposuçait à longueur de journée et n'assistait le grand patron le Pr. KLEIN que lors des absences de ses deux autres collègues masculins.
Ce jour de juin, alors que le soleil bavarois réchauffait les murs de la grand place de Munich, SOPHIE s'était arrêtée devant un spectacle de jongleurs juste devant l'horloge que des touristes photographiaient. Elle était comme à son habitude vêtue d'un beau tailleur très BCBG, qui lui soulignait bien la taille et ne cachait rien de ses formes généreuses. Avec ses talons aguilles, elle devait regarder devant elle en traversant cette grande place en partie pavée afin de ne pas en casser un en le coinçant dans une jointure. Aujourd'hui, elle était lasse et ses jambes étaient lourdes. Elle regrettait d'avoir mis des talons aussi hauts, mais il fallait dire que Christian son mari exigeait d'elle qu'elle soit toujours pimpante et très classe. Ses chaussures venaient pour la plupart de chez Jourdan et pas un talon faisait moins de 9 à 10 cm. Heureusement à la clinique, elle pouvait en salle d'opération mettre ses sabots afin de soulager ses orteils aujourd'hui taillés en pointe. SOPHIE voyait le spectacle, mais ne le regardait pas. Sa tête était ailleurs. Elle se dirigea alors tout naturellement vers un des nombreux Winstub qui s'étalait sur la place et se laissa tomber dans une chaise en rotin sur la terrasse. Elle en profita pour étirer ses jambes et fit glisser le talon de ses chaussures afin de desserrer l'étreinte de ses escarpins autour de ses orteils. Elle frotta ses deux pieds l'un contre l'autre afin de les masser.

- Was wollen Sie trinken ?

- Oh Entschuldigung, ein Cafe bitte !

Le serveur s'éloigna et essuya encore au passage une autre table.
SOPHIE en profita pour s'étirer d'avantage et rejeta ses bras en arrière. Elle vit alors qu'en face d'elle deux jeunes garçons se faisaient du coude. Elle ne comprit pas instantanément, mais très vite se ravisa et repris une position normale sur sa chaise. Sans le vouloir, elle venait de donner un spectacle à ses deux jeunes qui semblait l'avoir apprécier : celui du haut de ses cuisses, gainées de beaux bas en nylon que Christian faisait, spécialement venir des Usa par colis. C'était le seul site où il les avait trouvés. Christian adorait les vrais bas en nylon, ceux des années 50-60, sans LYCRA et touti-canti, des bas avec une vraie couture. Ils coûtaient assez cher mais qu'était ce 100 ou 200 francs pour lui. Et puis, contrairement à ce que l'on pouvait penser, ces bas en vrai nylon encore tricoté à plat en France et cousue à la main était bien plus résistant que ces bas modernes qui tiennent tout seul ou ces maudits collants qu'il détestait voir sur les jambes de sa femme. SOPHIE ne portait plus que des bas depuis maintenant plusieurs années. Elle avait cédé aux pressions de son mari et accepté ses caprices afin d'avoir la paix au moins de ce coté-là.

SOPHIE sourit aux deux petits jeunes. Après tout c'était à elle de faire attention, si elle ne voulait pas que le haut de ses bas soient visibles des autres. En principe la longueur de ses jupes de tailleur ne laissait rien voir de ses bas, mais là elle s'était littéralement couchée sur sa chaise et ses étirements avaient complètement remonté le bas de sa jupe pour arriver plus haut que mi-cuisses. Ce matin ,elle avait été contente de les mettre car il faisait encore un peu frais , mais maintenant, elle les aurait bien enlevés car elle avait décidément trop chaud. Elle regarda même un coup à droite et à gauche pour voir si elle pouvait le faire, mais elle n'eut pas ce courage. De plus, qu'aurait dit son mari s'il la surprenait en porte-jarretelles sans bas

- Quel manque de classe, n'aura -t-il pas manqué de lui dire !

 

SOPHIE appréciât longuement son café en cette fin d'après midi et une fois de plus se mis à se lamenter de son sort en pensée. Mariée depuis près de 17 ans, l'âge de sa fille, avec cet homme autoritaire et dictatorial, elle avait du renoncer à beaucoup de choses et faire bien des sacrifices pour lui. A commencer par sa carrière. Un enfant puis un autre , elle avait à chaque fois du arrêter son année de médecine pour s'en occuper. Son mari l'avait bien sur encouragé à arrêter, mais là au moins elle avait tenu bon et elle était finalement arrivée à obtenir son doctorat en médecine. Elle avait bien sur pris 3 ans de retard, mais elle n'était pas pressée. La seule chose que l'argent de son mari lui avait par contre apporté était l'aide d'une personne à plein temps à domicile : SOUAD. Cette femme instruite et très intelligente était arrivée dans leur vie par hasard et ne les avait plus quittés. C'était certes officiellement leur bonne, mais elle était aussi devenue maintenant son amie , un peu sa confidente et surtout la bonne nourrisse de ses deux filles, ASTRID et SEVERINE. Le dernier coup en date, que son mari lui avait fait était d'avoir accepter la direction munichoise de cette usine. Certes, une bonne proportion pour lui, mais aussi un nouveau départ pour elle, dans un pays inconnu, bien qu'européen , mais surtout elle avait du abandonner un poste prometteur pour elle, alors qu'elle venait juste de le décrocher deux ans auparavant. Un sérieux coup d'arrêt à sa carrière. Elle soupçonnait même Christian d'être plutôt content de ce côté là.

C'est un peu pour toutes ces choses, qu'elle traînait sur cette place après avoir vu son psychiatre. Cela faisait 6 mois qu'elle le voyait. Elle l'avait trouvé par l'intermédiaire du lycée français de Munich. Il parlait parfaitement français et c'était un très grand avantage et de plus il connaissait Paris, pour y avoir fait ses deux années de spécialisation. Cette thérapie l'aidait, mais en même temps elle se posait plus de questions que le Dr Weber ne lui amenait de solutions. Elle n'était pas heureuse, mais qu'est ce que cela voulait dire de nos jours ? Tout le monde se plaignait sans cesse. Divorcer ? Pourquoi, ses amies parisiennes qui l'avait fait le regrettaient toutes plus les unes que les autres. Oh ! Officiellement, elles étaient toutes très contentes, mais dans leurs confidences, SOPHIE comprenait bien qu'elle avait remplacé un problème de couple par un autre : solitude ou nouveau partenaire pas toujours aussi bien qu'elles ne le pensaient au départ … Alors quoi ?

Prendre son mal en patience. Oui, c'est cela, pour l'instant, jouissons de l'instant et ce soleil qui la réchauffait et prenons la vie du bon coté. Rassérénée, elle se relava brusquement, laissait quelques Marks dans la soucoupe, remis ses chaussures et se dirigea d'un pas énergique vers la bouche de Métro la plus proche. A cette heure, elle trouva, pour une fois, une place assis. SOPHIE se dit alors qu'elle avait trop d'idées noires dans la tête et que Christian les lui chasserait ce soir s'il ne rentrait pas trop tard de sa boite de fabrication de carton. Une douce chaleur entoura son sexe sur ces bonnes paroles et elle se surprit à serrer les cuisses afin de ne pas perdre une miette de cette douce sensation. SOPHIE arriva donc beaucoup plus tôt que d'habitude chez elle. La bonne ne serait pas là c'était son jour de sortie et les enfants seraient encore chez leur copain ou au cours de danse jusqu'à 19h au moins. Elle avait donc quelques heures devant elle. Super, elle allait pouvoir prendre un bon bain pour se détendre ou une douche et faire un hammam dans leur propriété privée. Leur maison était dans la banlieue chic de Munich. La maison ne leur appartenait pas, mais elle était magnifique : une ancienne maison de maître du XIXème dans un parc magnifique bordé d'un vieux mur de 3 m de hauteur et d'arbres centenaires et majestueux. SOPHIE salua sa vieille voisine qui bricolait dans son jardin et se rendit compte que ses vilaines pensées avaient toutes disparues. Elle ouvrit la petite porte du grand portail et courut presque jusqu'à la porte du garage pour prendre, là aussi, la petite porte. A sa grande surprise, elle tomba sur la Mercedes de son mari. Elle tiqua.

- Christian, ici se dit-elle ?

 

Sur le moment, cela lui gâcha un peu son plaisir, elle était rentrée avec le secret espoir d'être seule et pouvoir s'occuper d'elle voir de pouvoir se branler un petit peu afin de se soulager de son stress. La présence de Christian la contraria donc, mais très vite, elle se ravisa et se dit qu'au lieu de la branlette, elle verrait aussi bien la queue de son mari dans sa petite " muschi " comme disaient les Allemands. Elle prit donc les escaliers quatre à quatre et se précipita dans le salon afin d'y surprendre Christian : personne !
Son attaché case était bien sur la table ovale, mais pas son mari. Elle tenta lors son coup à la cuisine, mais toujours pas de mari en vue, elle tenta alors l'étage et entendant du bruit dans leur chambre à coucher, elle se rapprocha doucement en faisant attention à ne pas claquer les talons de ses escarpins sur le marbre du couloir. Christian allait avoir une bonne surprise et ne refuserait certainement pas de la prendre comme un sauvage sur la moquette de la chambre…
SOPHIE s'arrêta encore devant la porte entre baillée de leur chambre, pris sa respiration et poussa violemment la porte afin de le surprendre.
Pour une surprise, ce fut une surprise !
Christian était bien là ! Il était même allongé sur le lit, seul.
Alors me direz vous ? Et bien où était la surprise. La surprise était que Christian était entrain de se branler en regardant visiblement un petit film pornographique sur l'écran de son portable, alors me direz-vous : pas très grave, il suffisait à SOPHIE de profiter du vit bien dur de son homme, seulement voilà, était ce vraiment un homme qui était là sur son lit ?
Christian se releva brusquement sur sa couche et l'ordinateur tomba au sol. Il abandonna sa branlette et presque instantanément son sexe redevient flasque. Christian était maintenant debout le dos contre le mur de la chambre, son sexe pendait lamentablement entre ses jambes. SOPHIE était médusée, elle n'en croyait pas ses yeux : Son super macho de mari était là devant elle la queue pendante dans un de ses déshabillés en soie rouge… Ses jambes étaient gainées de bas noirs et il portait aussi des escarpins rouges avec des talons vertigineux ; Il avait même pris le temps de se peindre les ongles en rouge, s'était maquillé et portait une perruque de rousse à cheveux très longs. La nuisette était maintenant retombé sur son sexe et une auréole de sperme se formait sur la soie au niveau de son entre jambes.
SOPHIE dodelina de la tête plusieurs fois, mais pas un son ne sortit de sa bouche, ni de celle de Christian d'ailleurs. Puis au bout d'un moment qui semble interminable, SOPHIE sortit de la chambre à coucher et se précipita au salon, puis dans le parc avant de s'enfuir dans la rue. Elle erra ainsi dans la rue un bon moment avant de décrocher son portable et d'appeler sa meilleure copine HELENA.

- J'ai besoin de te voir, HELENA
- SOPHIE, mais je suis en pleine consultation
- Tout de suite, HELENA
- Mais je ne peux pas !
- Tout de suite, HELENA

 

Au son de la voix de sa copine, HELENA se rendit alors compte qu'il était arrivé quelque chose de grave et elle lui répondit ;

- Je t'attends
- Non, viens me chercher !
- Mais où ?
- Je suis à l'angle de la rue Steinbach et Karlsruhe, je t'en pris fait vite.

 

Et SOPHIE raccrocha

HELENA s'excusa auprès de sa patiente et informa sa secrétaire d'annuler tous ses autres RDV pour ce soir, puis enfila une veste, pris les clés de sa voiture, un plan et se précipita à la rencontre de sa meilleure amie. Cela ne faisait pas longtemps qu'elle se connaissait, mais pourtant une amitié profonde les liait déjà. En fait, on pourrait dire même un lien plus profond car HELENA était seule et lesbienne et elle aimait secrètement SOPHIE depuis le jour où elle avait été présentée l'une à l'autre par le professeur KLEIN, il y a maintenant quelques mois. HELENA soufrait en silence d'autant plus que SOPHIE s'était confiée à elle et qu'elle connaissait le caractère détestablement autoritaire de son mari. HELENA détestait évidemment cet homme qui se dressait entre elle et son amour platonique. Avec la circulation de 18h, HELENA mit plus d'une heure à parvenir au parc ou SOPHIE s'était réfugier afin d'échapper à l'horrible vision de son mari en travesti. Toute sa vie venait de s'effondrer. Son mari qu'elle admirait une heure plus tôt venait de la salir plus que si elle avait été violée par une bande d'arabes dans la cage d'escalier d'un immeuble glauque. Elle ne savait plus que croire, elle n'arrivait même pas à se calmer. Elle ne comprenait, rationnellement, pas pourquoi ? Son mari en jupe et talons aiguilles, ce n'était pas la fin du monde et bien si, pour elle si. Elle voulait un homme, un vrai un homme fort, elle en avait besoin pour vivre et voilà que le sien était une lopette qui se travestissait en son absence et se branlait dans ses bas de nylon et ses chemises de nuit sexys. De plus, Christian faisait vraiment tarte avec ses vêtements de femme, ses poils qui dépassaient des ses bas et ses mollets de footballeur ; Et puis cette bite sous cette nuisette, cette nuisette faite pour envelopper un corps de femme lisse.. Ah ! vraiment, Christian la dégoûtait, elle avait presque envie de rentrer pour les lui couper ses attributs masculins, tant elle était en colère.
C'est dans cet état que HELENA la repéra, assisse sur un banc de ce petit parc au milieu de la résidence. C'est aussi presque à ce moment qu'elle vit la puissante voiture de Christian passer devant le parc. Visiblement, il la cherchait, car il roulait tout doucement. Instinctivement elle se cacha derrière un arbre et Christian poursuivit sa route sans les voir.

- HELENA, emmène-moi loin d'ici vite !

HELENA ne chercha pas à comprendre. Elle n'avait pas reconnut Christian dans la voiture et ne se doutait évidement de rien.

- Je t'emmène où ?
- Où tu veux !
- A la clinique, chez moi ?
- Ou tu veux, cela n'a aucune importance, mais loin de ce quartier, STP !

Pendant tout le trajet, bizarrement, HELENA ne chercha pas à savoir pourquoi son amie l'avait appelée, elle ne posa la question qu'une fois entre les quatre murs de son appartement luxurieux du centre de Munich, appartement avec mezzanine et un petit attique, 100m2 en plein centre, une petite fortune légué par ses parents décédés il y a 2 ans maintenant.

- Je peux t'offrir un verre, SOPHIE
- Un verre, La bouteille oui. Ah le salaud, le salaud, le salaud !
- Le salaud, qui est un salaud ?
- Mon petit pédé de mari pardi !
- Ah mais ça tu le savais déjà depuis longtemps !
- Oui, mais ce que je ne savais pas c'est que j'étais la bonne petite épouse formidable et soumise d'un travelo de premier ordre
- Comment çà ?
- Christian est une fiote, je te dis, une tantouse, un travelo
- Tu en es sure
- Si j'en suis sure, je l'ai vu de mes yeux vus, il n'y a pas une heure
- Ou ça ?
- Chez nous, pardi ! Et moi qui croyais qu'il m'achetait des bas de nylon pour moi, c'est pour lui qu'il les achetait oui, ce petit pédé de mes deux
- Bon allez, arrêtes les insultes et racontes moi !
- Que je te raconte quoi ?
- Ben, ce que tu as vu ?

Et SOPHIE raconta dans les détails sa rencontre avec son mari dans leur chambre à coucher cette après-midi. Elle ne cacha pas un détail de la tenue de Christian. Son dégoût de l'avoir vu dans ses propres vêtements, à part les chaussures qu'il avait du acheter pour lui, étant donné qu'il faisait du 42 et elle du 37.

- Tu te rends compte, ce sale petit macho qui me gâche la vie depuis 17 ans n'est autre qu'une tantouse, mais quel salaud, quel salaud !

Inutile de vous dire qu'HELENA au contraire buvait du petit lait. Enfin une occasion de rentrer u coin dans la vie privé de SOPHIE qui jusqu'à présent avait repoussé toutes ses tentatives d'avance, soit par ignorance, soit par refus d'une relation avec une femme.
SOPHIE savait qu'HELENA était lesbienne, mais n'y avait jamais prêté plus d'attention que cela. HELENA vivait sa sexualité comme elle l'entendait et SOPHIE ne s'y intéressait pas, mais pas du tout.

- Tu veux passer la nuit ici ?
- Ici ou à l'hôtel, en tout cas, je ne suis pas prête à retourner chez ce pédé de sitôt !
- Mais il le faudra bien et tes filles ?
- Ah oui, mes filles, et bien je ne vais pas non plus les laisser entre les mains d'un homme en bas résille ! Peux-tu appeler SOUAD et lui dire que tout va bien et que je passerai demain la voir. En tout cas, je demande le divorce.
- Le divorce ?
- Oui, tu ne crois tout de même pas que je vais encore coucher avec un homme qui met mes bas pendant mon absence ?
- Non, bien sur, mais financièrement tu vas tout perdre
- Mais je m'en fous
- Toi peut être, mais tes filles
- Ce n'est pas avec ta paye de sous chirurgien que tu vas entretenir le train de vie de tes enfants
- Mais je vais retourner à Paris et reprendre mon poste à Laennec
- Tu crois qu'ils t'attendent ?
- Mais tu es ma copine ou tu es là pour me bousiller encore plus le moral ?
- Ni l'un, ni l'autre, mais moi, je ne prendrai pas le risque de perdre mes enfants à cause d'une connerie de ce genre
- Mais je ne vais rien perdre du tout !
- En es-tu sure ? Avec son pognon ton mari va gagner le procès. Ce n'est pas une petite nuisette qui va bouleverser les juges, surtout que, ce sera sa parole contre la tienne et puis il fera citer ton psy
- Mon psy,
- Bien sur qu'est ce que tu crois ! Mon mari m'a tout fait lorsque je l'ai quitté et grâce à son pognon et à mon homosexualité, je ne vois plus mes fils depuis 10 ans, je sais de quoi je parle.
- Mais que veux-tu que je fasse d'autre ?
- Dormir ce soir, et demain sera un autre jour, laisse-moi y réfléchir et fais-moi confiance STP !

SOPHIE était tellement désemparée qu'elle ne chercha même pas à répliquer. Avec toutes ses années de soumission, elle ne savait plus vraiment gérer sa vie et le soutien de cette femme froide et forte qu'était HELENA la rassura. Elle se laissa donc aller et HELENA lui prépara la chambre d'amie. SOPHIE apprécia son geste. Puis HELENA l'assomma avec des calmants et SOPHIE s'endormit presque aussitôt.
Le lendemain, lorsque SOPHIE se réveilla, HELENA était déjà partie. Un mot traînait sur la table : profite de mon appartement, je suis de retour à midi. Je préviens la clinique que tu es souffrante.

Souffrante, non mais qu'est ce qu'elle raconte ?

SOPHIE fit un brin de toilette et remis son tailleur de la veille. Comme ses bas étaient filés, elle décida de ne pas remettre son porte-jarretelles. Elle avala un café puis se précipita à la porte de l'appartement. La porte était fermée à clé. C'était une porte blindée.

- Mais où a-t-elle bien pu mettre ces foutues clés ?

SOPHIE dut alors se rendre à l'évidence que HELENA l'avait enfermée. Elle décrocha son portable et l'appela furieuse à la clinique, mais HELENA refusa de lui parler.

Furieuse, elle commença alors à frapper contre cette porte et ne réussit qu'à se faire mal aux orteils.
Elle chercha alors l'annuaire pour appeler un serrurier, puis se ravisa trouvant l'idée trop ridicule. Elle se résigna alors à attendre jusqu'au retour de sa copine.

En attendant, elle se mit à fouiner dans l'appartement et notamment dans les tiroirs d'HELENA. HELENA était comme elle très BCBG et très classe toujours. Ses armoires étaient remplies de belles choses : elle aussi aimait la belle lingerie et les bas. SOPHIE ne trouva en effet aucune paire de collant ce qui était plus qu'étrange pour une femme moderne. Elle ne trouva pas plus de pantalon, dans aucune armoire, et c'est à ce moment qu'elle se rendit compte qu'effectivement jamais elle n'avait vu HELENA autrement qu'en jupe ou en robe. Dans le tiroir de sa table de nuit, elle trouva même un vibromasseur de luxe et une paire de boules de geisha.
Cela l'émue plus qu'autre chose et c'est sur ce moment d'émotion que retentit la sonnerie à la porte. SOPHIE courut à la porte et regarda par l'œilleton : c'était son mari. Ah le salaud, il l'a cherchait !

- SOPHIE, je sais que tu es là. Il me l'on dit à la clinique. Ouvre-moi, il faut que je te parle.

SOPHIE choisit de ne rien dire et se colla simplement le dos au mur à côté de la porte. Christian resta là un bon moment et il ne daigna quitter son poste que lors du retour d'HELENA. Là il quitta rapidement le couloir et n'adressa pas une parole à HELENA.

Finalement, au lieu d'engueuler HELENA lorsqu 'elle revient, je fus presque content de la revoir et je l'embrassais joyeusement.

- Christian était là
- Je l'ai vu
- Ce salaud, je ne veux plus le voir
- Il le faudra bien
- Non, pas forcément
- Et tes enfants
- Je les récupère et je pars en France, lui il se débrouille, puis, je demande le divorce.
- J'ai vu SEVERINE, elle veut rester avec son père
- Tu as quoi, mais de quoi je me mêle ?
- Je me mêle de ce qui me regarde
- Mais je ne te permets pas
- Mais je ne te demande rien

Et c'est à ce moment alors que je ne m'y attendais absolument pas que je pris une magistrale baffe d'HELENA. Je roulais presque à terre tant le coup fut violent.

- Et tu me parles sur un autre ton à partir de maintenant STP ? Je m'occupe de te sortir de ta merde sans que tu ne perdes la face et toi tu me parles sur ce ton, non, non pas question.
- Mais HELENA tu es folle ! Tu as faillit m'assommer, tu ne contrôle pas ta force, tu devrais voir un psy.

Je me relevais, mais HELENA ne m'en laissa pas le temps déjà une seringue s'enfonçait dans mon avant bras.

- Mais ?
- Un simple sédatif afin de te rendre un peu plus compréhensive, après nous parlerons.

Rapidement mes jambes devinrent comme du coton et je ne pus plus me tenir debout. HELENA m'allongea sur le divan.

- Ecoute SOPHIE, me dit-elle, j'ai bien réfléchit à la situation et je ne veux pas passer à côté d'une telle opportunité. Je vais t'exposer mon idée et après tu décideras.

HELENA se confia alors à SOPHIE qui dans son état ne fit pas entièrement la part des choses.

HELENA parlait, parlait : Christian allait avoir un accident, il allait devenir la femme du professeur KLEIN et moi la maîtresse d'HELENA. Nous irions vivre dans la maison du parc que nous payerions avec l'assurance vie de Christian mon mari. Je tombais ensuite de fatigue et HELENA dut me porter à sa chambre. Là, elle fit pivoter son armoire murale et elle m'entraîna dans une pièce beaucoup plus austère que sa chambre. La sur un lit, elle entrava ma cheville avec une chaîne et s'éclipsa.

- Bonne nuit me dit-elle encore
- Bonne nuit répondis-je sans savoir pourquoi !

Je n'arrivais pas à rassembler mes idées et je luttais contre ma torpeur, mais bientôt, je perdis connaissance et sombrais dans un profond sommeil peupler de rêves affreux ou je me perdais et HELENA me sauvait à chaque fois.

Plusieurs jours passèrent ainsi et lorsque je recouvrais un tant soi peu mes esprits, c'est à dire lorsque HELENA daigna enfin baisser la dose de mes drogues, ce fut pour m'annoncer que nous nous rendions à l'enterrement de mon mari Christian. La nouvelle me terrassa et je fondis en larmes. HELENA me porta jusqu'à sa chambre où elle fit ma toilette avant de m'aider à m'habiller en veuve : corsage, bas noirs, porte-jarretelles noir, tailleur et chapeau avec voilettes, chaussures à talons aiguilles noires. La hauteur des talons était impressionnante, même pour moi, et HELENA me regarda simplement pour me dire :

- Ainsi tu ne courras pas partout pendant la cérémonie

Dans ma tête tout était malheureusement floue. Je voulais dire non, mais ses drogues me laissaient sans aucune volonté. Je la suivais, bravement, pleurant à chaudes larmes et incapable de m'arrêter. HELENA m'arrêta encore sur le pas de la porte. Elle ouvrit un petit coffret et en sortit un collier noir en métal de 4 cm de large environ. Elle le referma sur mon cou. Aussitôt je sentis une raideur dans ma nuque, ma pomme d'Adam était des plus comprimée.

- Aie, HELENA, je ne peux presque pas respirer !
- Je le sais, c'est même fais un peu pour ça. Tu te mets à courrier et hop, plus d'air, tu tombes dans les pommes ! Tu parles et hop ça te fait mal ! Je presse sur ce bouton et hop tu suffoques et HELENA pressa sur le bouton !

Aussitôt je cherchais de l'air et mes mains vinrent instinctivement autour du collier afin de desserrer l'étreinte. En vain. Je commençais à perdre connaissance, déjà je mettais un genou au sol, lorsque HELENA interrompit mes souffrances.

- Alors compris, tu pleures, mais pas un mot de travers à qui que ce soit ou je presse sur le bouton. Ne t'éloigne pas non plus à plus de 2 m de moi sans quoi le système se déclenche tout seul et tu mourras étouffer devant tes enfants, dommage, non ? Le plus beau jour de ta vie…

HELENA me tint par le bras pour descendre jusqu'à sa voiture, là elle m'installa et elle fit le tour de la voiture et, effectivement, mon collier commença à se resserrer lorsqu'elle passa derrière la voiture. Heureusement l'étreinte disparut lorsqu'elle se rassit au volant
- Tu vois, je ne t'ai pas mentis, alors fais très attention. Tu restes avec moi et tu me tiens le bras avec amour pendant tout le temps de la cérémonie.

A l'église, ce fut la première fois que je revis mes deux filles et SOUAD depuis ce beau mercredi ou je découvris la passion de mon mari pour mes dessous. Tout le gratin était présent, jusqu'au maire de l'arrondissement et au grand patron de Christian venu de France. ASTRID et SEVERINE me sautèrent au cou pour m'embrasser.

- Ou étais-tu maman pendant tout ce temps ?
- Elle était avec moi, répondit HELENA. Mais je crois qu'il faut y aller les filles. Tout le monde nous attend.

Je suivis HELENA et mes filles jusque devant le cercueil et je tombais dans les pommes. Tout cela était donc vrai. Christian était réellement mort ! Mais quel était le rôle d'HELENA dans ce décès ? Pouvait-elle vraiment l'avoir assassiner ?
En reprenant connaissance, c'est encore le visage d'HELENA que je vis en premier. J'étais allongée sur la table dans la sacristie et le professeur KLEIN tenait compagnie à HELENA.

- Alors SOPHIE, vous allez mieux ? Pouvons nous rejoindre vos filles dans l'église ?
- Oui, répondis-je sans aucune conviction

Le professeur et HELENA m'escortèrent jusqu'au banc de l'église. La messe était déjà bien avancée. Coincée entre mes deux tortionnaires et avec l'épée de Damoclès au dessus de ma tête que constituait ce collier à étranglement électrique, je ne pouvais rien faire d'autre que de suivre la messe. En pleurs, tout le monde pensait que c'était par chagrin, mais ce n'était pas seulement cela. Je m'affolais aussi : qu'allait-il se passer ensuite ? Avec HELENA ? Avec mes enfants ?
Apres la messe, nous suivîmes encore, tous, le cortège jusqu'au cimetière. Là encore, ni HELENA, ni le professeur ne me lâchèrent d'une semelle. Même mes enfants avaient du mal à m'approcher. Ma grande fille, heureusement se comporta le mieux du monde et s'occupait bien de ma plus petite fille.
Après la longe corvée des condoléances, la cérémonie s'acheva enfin et nous nous dirigeâmes enfin vers la voiture. A ma grande surprise, nous nous dirigeâmes vers notre propriété avec mes deux filles. Sur place, HELENA prit les choses en main et se comporta en vraie maîtresse femme. Elle donna des ordres à ma domestique, qui lui obéit après avoir constaté que je ne réagissais pas le moins du monde. Le professeur s'occupa ensuite de moi pendant qu'HELENA se mit en quête d'expliquer à mes filles que je faisais une profonde dépression et que j'allais très certainement devoir être interné quelques jours voire quelques semaines. Elle leur demanda si nous avions encore de la famille en France et si elle pouvait nous accueillir. Evidement, elles avaient leur parrain, mais il était très occupé. HELENA décida tout de même de l'appeler et à ma grande surprise, elle conclut l'entretien par :

- Je vous attends donc demain à l'aéroport de Munich. ASTRID SEVERINE, votre parrain arrive demain de Paris. Il restera ici quelques jours, puis le plus sage sera que vous rentriez avec lui en France le temps que votre mère se remette de la mort de votre papa.

Le reste de la soirée fut horrible pour moi. J'assistais impuissante à la poursuite du plan machiavélique d'HELENA et je ne pouvais ou ne savais que faire et comment réagir !
Apres un repas frugal, HELENA m'obligea à prendre un autre cachet qui m'assomma littéralement. Elle me mit alors au lit.

Puis, elle renvoya enfin le professeur KLEIN et s'occupa ensuite comme une mère de mes deux filles. Pour ma part, je restais dans ma torpeur jusqu'au lendemain matin. Là comme un somnambule, je restais toute la journée en robe de chambre en attendant l'arrivée de Christian le parrain de mes filles. Vers 17h donc, HELENA m'obligea à nouveau à prendre un cachet, puis me raccompagna dans ma chambre. Là pour être sure, elle sortit une paire de menottes et me lia une cheville sous les couvertures à un barreau de mon lit. Puis, elle ferma les volets et me souhaita une bonne nuit.

Et c'est encore le lendemain que je vis enfin Christian. Apres un échange normal de condoléances, il m'informa que ma copine était géniale et que sans problème il allait emmener SEVERINE et ASTRID à Paris, le temps que je récupère. A ce moment, je fus devant un dilemme. Christian était une force de la nature et il viendrait sans problème à bout d'HELENA d'un simple revers de la main. Et pourtant, je ne dis rien ; Dix fois, je fus sur le point de lui dire quelque chose, dix fois je vis la main d'HELENA se crispé sur la télécommande en forme de briquet qui contrôlait mon collier. Mais elle n'eut pas à le déclencher. Le fait de savoir en fait mes filles loin de cette folle me rassurait et j'accepta donc de les voir partir sans autre forme de procès. Christian malgré ses affaires resta encore un jour de plus et c'est donc le surlendemain qu'HELENA et moi prirent congés de mes filles et de leur parrain, en pleurs, à l'aéroport de Munich.

- Tu as été formidable me dit HELENA aussitôt de retour dans la voiture qui nous ramenait sur la ville.
- Ah tu trouves, espèce de salope ! Dès que j'en aurais de nouveau la force, je te tuerais de mes propres mains et avec le plus grand plaisir encore
- Je veux bien te croire, mais je doute que tu y arrives un jour
- Ne te crois pas si sure de toi HELENA, il faudra bien que tu me lâches un jour !
- Mais bien sur ma chérie, mais ce jour, je suis sure que ton envie aura changée
- Mais tu rêves ma pauvre fille ! Et si je ne te tue, tu finiras au moins tes jours en prison
- En prison et pourquoi, grand Dieu ?
- Pour enlèvement, séquestration et assassinat
- Séquestration, mais laquelle, n'es-tu pas consentante, Je n'ai rien entendu lors de ces derniers jours ?
- Mais tu te moques de moi, je ne pouvais pas !
- Tu ne pouvais pas ou tu ne voulais pas ?
- Mais tu es une vraie hypocrite ! faux jeton, j'étais droguée et contrainte
- Oui qui le sait, comment iras-tu le prouver ? Qui te croira ?
- Une chose est au moins sure, tu as tué MANFRED et ça les flics le prouveront ou au moins trouveront ton complice
- Ah, MANFRED est mort ? En es-tu sure ?
- Mais qu'est ce que tu essayes encore de me faire croire, salope !
- Bon allez calme-toi où je vais encore devoir te droguer pour te faire entendre raison, ma chérie
- Je ne suis pas ta chérie et je ne le serai jamais espèce de sale gouine !

Cette dernière insulte entraîna une sévère punition pour moi. HELENA enclencha le serrage du collier et instinctivement, je me mis à chercher de l'air et à mis les mains autour de mon cou pour essayer de desserrer l'étreinte. J'étouffais et elle conduisait tranquillement.

- Plus jamais tu ne me traites de gouine, plus jamais, secoue la tête pour dire oui, ou je te laisse lentement suffoquer jusqu'à ce que tes veines éclatent dans ta petite cervelle de veuve.

La douleur me fit céder aussitôt et je dodelinais aussitôt du chef afin de suivre son ordre.
- Tu vois quant tu veux.

L'air revient progressivement, mais je mis encore du temps avant de retrouver tous mes esprits. C'est à ce moment que nous nous présentâmes devant le portail de la clinique, ma clinique.

- Bonsoir, mesdames nous lança le portier ; Encore toutes mes condoléances madame LEYMEN.
- Merci, Hans répondis-je tout en fondant en larme.

HELENA gara sa voiture dans le sous-sol.

- Que venons-nous faire à la clinique ? Je pensais que tu me ramenais au moins chez moi.
- Ce que tu pense m'importe peu SOPHIE et tu vas encore l'apprendre à tes dépens les semaines qui vont venir.

HELENA sortit de sa voiture et vient m'ouvrir la porte. Encore faible sur mes jambes, je dus m'appuyer sur elle pour atteindre l'ascenseur. Là à ma grande surprise, HELENA sortit une clé de sa poche et débloqua à l'ascenseur afin que nous puissions nous rendre au dernier étage, dans les appartements privés du directeur le professeur KLEIN.

- Mais ?
- Mais ? Le professeur KLEIN souhaiterait te voir
- Mais pourquoi, je n'ai rien à lui dire. Ecoute, je suis las. Je veux rentrer chez moi. STP, HELENA, aie un peu pitié, je suis au bord de la crise de nerf. J'ai besoin de dormir et de reprendre des forces.
- Mais c'est exactement ce que nous comptons te proposer ma fille
- Ah oui ?
- Mais oui, nous ne sommes pas des monstres, et elle partit dans un immense fou rire forcé.

L'ascenseur s'arrêta bien au 7 ème et dernier étage et lorsque la porte s'ouvrit ce fut pour se retrouver dans un petit sas cadenassé de partout. Une fois la porte refermée, je remarquais une petite caméra et un instant plus tard une porte blindée s'ouvrit dans le mur et nous pénétrâmes directement dans ce qui devait être le bureau du professeur KLEIN.

- Mais dis-moi, il a peur de qui, notre patron pour s'être construit ce bunker en plein ciel ?
- Peur d'être dérangé sans doute
- Dérangé ?
- Oui, dans ses travaux !
- Dans ses travaux ? Il y a un labo à cet étage ? Mais je n'en savais rien
- Mais personne ne doit le savoir ! C'est un laboratoire secret.
- Secret ?
- Oui, secret

Ce secret n'eut pas l'heur de me plaire, mais alors pas du tout. Avec tout ce qui m'était arrivé depuis 8 jours, je craignais le pire. Et le pire, je ne l'imaginais même pas, comme vous allez le comprendre.

- SOPHIE, bonjour, heureux de vous revoir lança le Pr. KLEIN
- Pas autant que moi, Professeur, j'aimerai bien comprendre votre jeu à tous les deux ?
- Notre jeu, mais il ne s'agit pas d'un jeu, ma chère, mais alors pas du tout ou alors d'un jeu entre adulte pas très consentants alors
- Je ne comprends pas !
- Elle ne comprend pas, la pauvre !

HELENA me fit m'asseoir dans un fauteuil juste en face du bureau à KLEIN, aussitôt deux menottes d'acier se refermèrent sur mes poignets comme dans les films de James Bond.

- Mais !
- Il n'y a plus de mais, ma chère SOPHIE et j'aimerai que vous le compreniez bien dans votre intérêt et celui de vos enfants.
- Mes enfants, laissez mes enfants en paix, je ferai tout ce que vous voudrez, mais ne les mêlez pas à cette histoire.
- Mais nous n'en avons aucune intention, sauf si vous ne deviez pas coopérer pleinement à la réussite de notre projet, bien sur, un accident est si vite arrive, pensez à votre regretté MANFRED
- Ah, c'est bien vous qui l'avez tué, salauds !

HELENA m'asséna aussitôt une baffe magistrale.

- Pas de ça ma petite, un peu de respect
- Du respect pour des assassins !

Et je reçus une seconde gifle qui me laissa grogie un moment.

- Je crois que dans votre situation, je serai un peu moins impertinente. Vous êtes seule, veuve, vos enfants sont loin de vous. Vous avez été placé en internement psychiatrique pour une profonde déprime et si vous continuez, vous ne reverrez palus vos enfants, je les ferai placer dans une pension ou dans une famille d'accueil, ce n'est pas ce que vous voulez
- Non, je veux revoir mas enfants, ne leur faites pas de mal, laissez-les-moi, mais pourquoi est ce que vous faites cela, pourquoi ?
- Pourquoi ? , Très simple, HELENA est folle amoureuse de vous et pas vous, alors ?
- Quoi, cette goui…

Et déjà je dus faire attention à mon langage, je ne voulais plus suffoquer comme avant.

- Quoi, HELENA est amoureuse de moi, mais pas moi. Je ne suis pas lesbienne. Je n'ai rien contre ce genre de filles, mais très peu pour moi, j'aime trop les hommes.
- Mais c'est justement ce qui plait à HELENA.
- Moi non plus je n'aime pas les gouines lança HELENA
- Non, ce que préfère HELENA, ce sont les parfaite hétérosexuelles, charmantes petites femmes au foyer, mère de famille et amante fidèle à leur mari. C'est vrai que j'oublias un détail, HELENA est un peu, devais-je dire est beaucoup sadique. Elle aime ce qu'elle ne peut avoir que dans la douleur.
- Mais elle rêve, elle ne m'aura jamais, cette espèce de, de folle
- Ni gouine, ni folle fit HELENA et je repris encore une gifle. Cette fois j'eus vraiment mal. Mes joues étaient rouges et mon cou encaissait mal.
- Arrête HELENA, tu me fais mal
- J'adore, fut sa seule réponse.
- J'aimerai bien pouvoir finir les filles
- D'accord patron fit encore HELENA.
- HELENA donc cherche depuis quelques années sa femme parfaite et lorsqu'elle vous a croisée dans ma clinique, elle est tombée raide amoureuse et depuis, elle recherchait la moindre occasion pour vous séduire. Mais rien évidemment. Vous étiez trop gentille et hétéro. Alors la semaine dernière, quand elle a sentit l'opportunité, elle a foncé et moi, je n'ai pas pu refuser son marché.
- Son marché, quel marché ?
- Oh, ça vous le saurez bien assez tôt ! en attendant, nous allons vous garder ici quelques temps, le temps nécessaire à votre transformation en une bonne … gouine pour HELENA !
- Mais, mais jamais !
- Ne dites pas jamais, ici c'est un mot inutile et vous verrez que nous avons des arguments très convaincants à cet étage. Et puis, vous vous nous offrez avec vos deux filles un moyen de pression génialement pervers.
- Ne touchez pas …
- A vos enfants, je sais, alors obéissez et rien ne leur arrivera et vous pourrez même les revoir le plus vite possible. Tout dépend de vous maintenant. Ce sera dur, mais vous pourrez y arriver j'en suis sure ; Nous n'avons pas eu d échec depuis 5 ans dans ma clinique et ce n'est pas avec vous que je commencerai, ma petite SOPHIE.
- Qu'est ce que vous voulez de moi ?
- Je vous l'ai dit que vous deveniez une bonne petite gouine pour HELENA !
- Bon c'est d'accord
- Non trop facile, HELENA veut sa bonne petite gouine et elle va vous façonner pour que vous y ressembliez le plus possible.
- Me quoi,
- Vous façonner, oui. HELENA est très exigeante, vous savez !

Je me tournais maintenant le plus possible vers HELENA.

- Qu'est ce qu'il veut dire par là HELENA, dis-le-moi ! Tu veux que nous couchions ensemble, OK alors détache moi et que nous en finissions, je suis d'accord, toute la nuit si tu veux !
- Mais je crois que tu n'as encore rien compris, SOPHIE, tu es maintenant à moi. Tu m'appartiens, non pas pour une nuit mais pour le temps que je voudrais. Tu m'appartiens corps et âme, ma chérie !
- Je ne suis pas ta chérie, HELENA, STP arrête, il en est encore temps, je te promets, je ne dirais rien à la police, si tu me laisses partir maintenant.

Pour seule réponse, j'eus droit au grand sourire d'HELENA, puis elle s'approcha de moi et débloqua mes menottes. Deux infirmiers arrivèrent alors et me conduisirent dans une chambre d'hôpital très dépouillée. Là ils me laissèrent. Seule.

Seule, SOPHIE le resta pendant des heures et des jours. Elle perdit la notion de temps. C'était évidemment voulu. Personne ne lui parlait, jamais. Elle recevait à manger mais rarement et elle avait toujours faim. Certains jours, j'eus même des coliques. Je suis sure que c'était un fait exprès. Je baignais alors dans ma merde pendant des heures parce que ces jours là on me laissait attacher à mon lit et j'étais donc incapable d'atteindre les WC pour faire mes besoins. Tous mes vêtements étaient souillés par de la pisse de la merde et de la nourriture et lorsque enfin, on vient me chercher pour me laver, je me laissais faire avec la plus grande joie. J'étais là en fait depuis plus d'une semaine et HELENA me suivait sur le moniteur de contrôle à tout moment. Elle cherchait la faille chez moi et l'avait trouvée : m'humilier en me dégoûtant de moi-même. J'avais horreur de la misère et la saleté. Elle le savait. Dans l'état où j'étais, je me répugnais et je n'avais plus aucune défense.

C'est avec joie que je laissais des étrangers me laver à l'eau froide avec le jet. Je ne dis rien. Une fois propre, on me passa un peignoir et j'on m'emmena dans une salle d'examen. Là je fus fixée sur une chaise d'examen, les cuisses en l'air ferment attachée aux montants. Mon cou et mes poignets furent aussi liés et c'est dans cette tenue, offerte, que je dus encore attendre des heures avant de voir arriver HELENA. Entre temps du monde était passé dans cette salle, mais c'était comme si je n'existais pas à leurs yeux. Personne ne m'adressa la parole, pas un homme ne me toucha alors que j'étais plus qu'offerte à leurs mains.

- Désolée, ma chérie, mais je n'ai pu ma libérer auparavant, tu sais ce que c'est …
- HELENA, quel jour sommes-nous ?
- Quelle importance ?
- J'aimerai juste savoir
- Mais je n'ai pas envie de te répondre

Le fait de laisser mon esprit se focalise sur des petites futilités de ce genre, importantes certes mais complètement dérisoires, si on y réfléchissait un peu, faisait entièrement partit de mon éducation. Mais cela je ne le devinais pas encore.

- Bon SOPHIE, je vais devoir t'examiner
- M'examiner, mais pourquoi ? Pour voir si tu es en bonne santé et prête à subir une intervention !
- Une intervention, mais je n'ai rien !
- Tu n'as rien et c'est justement ce que je veux corriger ma chérie
- Oh pitié HELENA, ne m'appelle plus ma chérie,
- Mais bien sur ma chérie ! Ecoute SOPHIE, si tu ne veux pas retourner à ta merde, je te conseille à l'avenir à ne plus me contredire ou me contrarier sans quoi : retour pour un autre séjour dans tes excréments et cette fois deux fois plus longtemps. De plus, j'aimerai bien qu'à partir de ce jour, tu ne parles plus que lorsqu'on te l'autorise ou qu'on te pose une question et là encore tu te contenteras de répondre sans essayer de relancer le débat. Est-ce compris SOPHIE ?
- Mais..


- Est-ce compris et elle prit une pince pour écraser et tordre la pointe de mon sein ?
- Oui, HELENA, oui, j'ai compris. Pardon, arrête !

HELENA pour bien me faire comprendre qu'elle était seule maîtresse du jeu ne cessa pas tout de suite, mais au contraire continua à tordre mon tétin, ce qui me fit verser une larme de douleur tellement la douleur était forte. Cependant, je ne dis rien, car j'avais bien compris que son jeu était de me voir crier et que tant que je lui tiendrais tête, elle continuerait à me pincer. Une fois HELENA heureuse de ne pas m'entendre me plaindre, elle lâcha prise et se retourna pour aller mettre des gants d'examen. Elle revient près de moi en apportant avec elle une table d'examen sur laquelle elle avait disposé de nombreux outils chirurgicaux et médicaux.

- Si tu ne bouges pas trop, nous devrions avoir fini assez rapidement.

HELENA commença par ma tête : oreilles, nez, gorge, yeux tout y passa, puis vinrent mes seins, mon ventre et mes hanches, enfin elle s'intéressa à mes orifices entre les cuisses et n'hésita pas à m'introduire sans trop e ménagement un énorme spéculum dans la chatte. Je protestais une fois de plus, mais elle fit comme si elle n'entendait strictement rien à mes plaintes et je choisis donc de souffrir en silence. Son examen fut long et pénible car elle alla jusqu'à ouvrir mon col d'utérus avant de plonger une sonde dans mon canal urinaire. Je ne savais pas ce qu'elle cherchait.

- HELENA, tu me fais mal, mais qu'est ce que tu cherches, je vais très bien, je t'assure.

Sur ces paroles, HELENA me regarda dans les yeux et tout en me fixant retourna brusque ment la sonde que j'avais encore dans mon petit canal urinaire. La douleur fut horrible, de l'urine réussit à s'échapper de ma vessie. Je hurlais si fort que je crus que mes cordes vocales allaient sauter. Tout mon corps chercha à s'agiter, mes mains instinctivement recherchèrent à se porter vers mon pubis, mais tout ce que je réussis c'est encore à m'écorcher mes poignets sur les menottes qui les retenaient prisonnier le long de la chaise d'examen gynécologique. Lorsque la douleur s'apaisa enfin, je pleurais à chaude larme. HELENA ne semblait nullement émue. Elle me regardait bêtement et faisait une petite moue de satisfaction.

- La prochaine fois, je tourne la sonde et je l'arrache vers la sortie.

C'est tout ce qu'elle dit. Pour me retirer la sonde, elle prit tout de même quelques précautions, mais du tout de même la remettre dans le bon sens, ce qui n'arrangea rien à ma douleur. HELENA m'avait prévenue et me donnait une leçon : Je ne devais pas lui adresser la parole sans sa permission. Mais quelle salope sadique elle était. Et dire que j 'avais travaillé avec elle et que je ne m'étais aperçue de rien. Quelle espèce de sale gouine débile ! Je détestais au fond de moi les gouines, mais la pression de la société faisait que je me sentais obligée de dire que les homosexuels ne me dérangeaient pas. Chose que tout le monde était obligé de dire aujourd'hui dans notre société occidentale : Oh ! Tu sais, ils font ce qu'ils veulent ce la ne me dérange pas !
En réalité cela me répugnait, j'aimais trop les hommes et je ne voyais pas ce qu'une femme pouvait trouver à une autre, enfin sur le plan sexuel en tous les cas ! Et là, je me trouvais prisonnière d'une gouine, sadique et perverse de surcroît qui me tenait sous sa coupe de part une machination machiavélique et diabolique. Encore prise dans mes pensées, je sentis que HELENA retirait le spéculum de mon vagin. Je pensais alors en avoir terminé avec cette séance de pseudo examen médical lorsque HELENA présenta à l'entrée de mon fondement un spéculum anal. Décidément, elle ne m'épargnerait rien.

- Ha, mais c'est sale là dedans. Attends, je vais arranger cela.

Elle pris alors sur le chariot une énorme poire à lavement, retire le spéculum et introduit à la place la poire percée au fond de mon rectum. Puis elle appuya et une douche glacée envahit mon anus.

- Pas trop chaud, ma chérie !

La contraction de mes muscles devait avoir parlée pour moi, mais je ne pus m'empêcher de dire :

- Non, pas trop !
- Je vois que tu gardes ton humour, c'est bien, sauf que ce genre de remarque sarcastique à mon encontre te voudra une punition la prochaine fois que tu oseras en professer une ! Tes réponses doivent être brèves et répondre à la question, sans essayer d'être drôle, humoristique ou sarcastique, est-ce que tu m'as comprise, SOPHIE
- Oui, j'ai compris HELENA, essayais-je de dire sur un ton beaucoup plus neutre
- C'est déjà mieux, maintenant si tu baisses encore les yeux en le disant ce sera parfait !
- Oui, j'ai compris, HELENA !
- Voilà, tu vois quand tu le veux.

Je gardais le liquide froid quelques instants puis, HELENA approcha de mes fesses un haricot dans lequel je compris que je devais expulser son lavement. Par deux fois, elle renouvela l'opération. Quelle humiliation que de devoir expulser un liquide noirâtre et nauséabond directement sortit de mes entrailles devant cette quasi inconnue pour moi ! Cependant, je ne me fis pas prier pour le faire et bientôt HELENA jugea mon cul suffisamment propre pour m'introduire à nouveau le spéculum entre mes sphincters. Elle l'ouvrit doucement, mais sûrement et bientôt, je fus dilater à cet endroit comme jamais. La bite de mon mari n'était pas des plus petite, mais au moins me laissait-il le temps de me préparer à l'introduction. Là HELENA m'écarta à froid et une douleur lancinante bientôt s'installa à cet endroit intime. Encore une fois, HELENA prit tout son temps et m'examina avec soin. Elle se permit même de me faire un frottis qui se révéla à cet endroit plutôt douloureux.

- Voilà, nous avons fini. J'ai tous les renseignements que je voulais. Encore une petite prise de sang et une mesure au laser de tout ton corps et nous serons prêts pour l'opération.
- Prêt pour l'opération, mais je ne veux pas être opéré
- Ah ! tu ne veux pas, mais je ne crois pas que tu sois en position de me refuser quoi que ce soit ma chérie
- Oh ! HELENA, je veux bien rentrer dans ton jeu, mais il ne faut tout de même pas que tu ailles trop loin et que les choses deviennent irréversibles et puis d'abord pourquoi veux-tu m'opérer ?
- Encore une fois, je crois que tu n'as pas bien compris ou tu étais tombé ma chérie. A présent, tu m'appartiens corps et âme et je fais de toi ma chose.
- Mais HELENA, non, tu es folle, je t'en supplie arrête ce jeu tant qu'il en ait encore temps. J'ai deux enfants qui ont besoin de moi, arrête, je ne dirai rien à personne, laisse-moi simplement partir !
- Partir, mais tu rêves ma chérie, tu es à moi et jamais plus tu ne partiras loin de moi. Tu verras, tu apprendras à m'aimer ou du moins à faire comme si…
- Mais HELENA, on nage en plein délire, sois raisonnable libère moi et j'oublierai tout
- Mais tu me crois vraiment sotte, même si je te libérai, tu ne mettrais pas une heure avant d'aller sonner à la porte des flics ou au pire tu essayerais un jour de me faire chanter, non ! Et puis de toute façon, j'ai décidé autre chose pour nous et j'ai envie d'un jouet comme toi pour mes vieux jours, alors essaye de te faire une raison et je te laisserai encore revoir tes enfants, sinon ils pourraient bien apprendre demain qu'ils ont aussi perdu leur mère…
- Tu veux aussi me tuer
- Pourquoi aussi ?
- Tu, vous avez tué MANFRED !
- Mais qui t'a dit cela pas moi n tout cas, je n'ai tué personne et Le professeur KLEIN non plus.
- Mais qui alors ?
- Qui alors quoi ? Qui à tuer MANFRED ?
- Mais personne !
- Tu mens !

HELENA se retourna vers moi furieuse. Je vis sa colère monter. Elle voulut lever sa main sur moi, mais ne le fit pas. Sans doute pensait-elle alors que ce serait trop facile et que cela n'était pas digne d'elle. Elle reposa donc son bras et sourit.

- Après tout, je n'ai rien à te prouver. Je vais maintenant te faire ramener dans ta chambre. Demain, nous viendrons te chercher pour ton intervention. Je comptais te dire ce que j'allais faire de toi afin que tu me plaises enfin, mais après ton attitude déplorable, je vais te laisser dans l'incertitude et l'ignorance. Ainsi demain à ton réveil tu auras la surprise !
- Non, HELENA ! Pitié pas ça, dis moi ce que tu veux me faire. Tu me fais horriblement peur, pitié parle -moi !

Et HELENA éclata de rire tout en quittant la salle.
Je restais encore là un bon moment avant que les deux colosses ne reviennent me chercher pour me remettre dans ma chambre. Mais cette fois il ne me laissèrent pas libre de me mouvement. A peine rentrer dans la chambre l'un des deux attrapa mes bras et me glissa une camisole de force. Je tentais symboliquement de résisté sachant que j'étais extrêmement faible après cette cure de plusieurs jours, voire semaines que j'avais passé dans cette chambre ; Puis après la camisole, ils me jetèrent sur le lit où je fus solidement fixée sur le dos à l'aide de lien habituellement utilisé pour immobiliser les fous ou les personnes trop agitées. C'est les yeux rivés au plafond blanc de ma chambre que je passais une nuit horrible, me demandant sans trouver la réponse ce que HELENA avait bien en tête pour moi. En proie aux plus grands doutes, j'espérais que ce n'était qu'une ruse de plus d'HELENA pour me mettre à l'épreuve et me rendre folle, mais que demain rie n ne m'arriverait.

En cela, je me trompais car le lendemain matin, la porte s'ouvrit et je reconnus l'anesthésiste du bloc qui entra dans ma chambre. Il m'ausculta puis relut mon dossier médical avant de me demander rituellement si je ne supportais pas tels ou tels anesthésiques. Bizarrement, je répondis à ses questions. J'étais exténuée.

Ce n'est que lorsque je franchis le seuil de la salle d'opération, que je ne me fis plus aucune illusion. Une aiguille se planta dans mon bras. Bientôt, on posa un masque sur mon nez, je comptais machinalement un, deux, trois, comme si c'était moi qui allais faire l'intervention et juste avant de perdre connaissance j'entendis la voix d'HELENA dire

- Est-elle prête ?
- Oui, docteur répondit l'anesthésiste.

FIN du 1er EPISODE

 

 

ceinture de chasteté en acier

A suivre

 

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