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LA BONNE COPINE
Mon prénom est SARAH, j'ai
30 ans, j'aime les hommes et la vie. J'adore le sexe sous toutes ses formes
à partir du moment où une belle queue vient remplir mes orifices.
Je ne suis pas laide, mais au contraire plutôt jolie. Je dirais même,
que je représente un peu le canon de beauté des Anglais : je suis
plutôt fine, taille 38, assez grande 170 cm et j'ai proportionnellement
plutôt ce que l'on appelle des gros nichons : je fais un beau 100D. Et
en plus ils tiennent bien tout seuls ! Un seul détail pourtant va pourtant
vous chiffonner : plus aucun homme ne m'a fait l'amour depuis un an.
Vous penserez que je suis devenue
lesbienne, c'est plutôt à la mode en ce moment et bien pas du tout
! J'aime toujours encore les hommes et l'instrument qui les rend aussi arrogant
et fière, mais qui se montre bien utile par moment.
Alors ? Me direz vous pourquoi plus
rien depuis un an ?
Si vous le voulez, je vais vous raconter mon histoire.
Voici en fait maintenant plus de
5 ans que je porte une ceinture de chasteté. Nous ne sommes plus pourtant
au moyen age, entre parenthèse, à cette époque, elles n'ont
jamais existé et aucune femme dans son château n'a jamais vu partir
en croisade son seigneur une ceinture de métal autour des hanches. Non
son invention bien que romaine se développa surtout chez les fétichistes
dans la prude vieille Albion au temps de la reine victoria et depuis, il existe
toujours quelques bons fabricants et c'est auprès de l'un d'eux, que
je me suis procurée une voilà 5 ans.
Et ne croyez pas que cela soit parce
que je voulais rentrer dans les ordres, non cela fut tout simplement par amour,
amour de la vie, amour d'une femme, mais pas un amour saphique, non un amour
d'adolescente. CHRISTINE fut toujours ma meilleure amie et nous avons fait les
quatre cents coups ensembles. Devenues adultes, nous sortions toujours ensembles
et nous faisions la tournée des bras et discothèques. Tous les
soirs ou tout du moins tous les week-ends, c'était la folie. Folie de
l'alcool de la danse et bien sur d'hommes. Les hommes j'en raffole et j'en raffole
d'autant plus qu'ils peuvent plaire à ma copine CHRISTINE. Rien à
faire dès qu'un homme s'approchait ou s'intéressait à elle,
je faisais tout pour le séduire et l'attirer dans mon lit. Ensuite, ensuite,
je savais très bien que CHRISTINE ne s'intéresserait plus à
lui. Uns fois la chose faite, je restais parfois avec le type, mais souvent
je l'emmerdais tellement qu'il n'avait qu'une hâte : me larguer. J'étais
débarrassée de lui et CHRISTINE restait tout à moi. Nous
vécûmes ainsi heureuses pendant longtemps, entre 20 et 25 ans.
Nous trouvâmes toutes les deux du travail, elle comme assistante chez
un architecte, moi comme comptable. Pas terrible comme métier, mais qu'importe
puisque les week-ends étaient là pour nous faire danser, boire
et baiser. Enfin surtout moi ! CHRISTINE était ma super copine, mais
elle était plutôt distante avec les hommes enfin surtout ceux que
je me payais. Elle ne comprenait pas comment je pouvais m'en envoyer autant
en si peu de temps. Mais c'était des discussions de copines et tout disparaissait
lors de la soirée suivante ou après quelques verres.
Notre histoire aurait pu durer encore longtemps comme cela, si un soir Marc
n'avait pas croisé notre route. Marc était assez beau garçon,
mais plutôt très, très timide. Il a tout de suite plut à
CHRISTINE, elle ne disant rien, mais n'en pensait pas moins. Je me sentis donc
obligé de le détester dès le premier instant, ce qui ne
m'empêcha pas de déployer tous mes atouts pour le séduire.
Il faut dire que bien que CHRISTINE soit ma meilleure copine, on ne peu pas
dire que ce soit un canon. Elle est du genre petit et même un peu boulotte.
Comme moi, elle a de gros nichons, mais les siens seraient plutôt un handicap
pour elle. De plus, comme beaucoup de femme aujourd'hui, elle ne fait pas beaucoup
d'effort pour se mettre en valeur : presque toujours en pantalon ou alors avec
des jupes de mémé jusqu'aux chevilles. Ce qui soit en passant
la rend encore plus ridicule. Franchement une petite avec une longue jupe et
des talons plats bien sur. Parfois, je me demandais même si elle serait
rentrer dans les boites où nous allions si je n'avais pas été
là ; En fait CHRISTINE était le stéréotype de la
bonne copine. Sympathique, rigolote, mais toujours de trop dans une soirée.
Enfin, c'était ma copine et surtout ma meilleure copine.
Revenons à ce fichu Marc.
Je fis donc tout pour le couper de CHRISTINE. Et ce con, alors que je n'étais
pas son genre, mais alors pas du tout se laissa tout de même prendre dans
mes filets. Ah ! Ces hommes toujours guidés par leurs queues tout de
même. Il rentra donc avec moi. Le lendemain, je pensai avoir bien réussit
mon coup une fois de plus, mais cette fois quelque chose avait cassé
chez CHRISTINE. Lorsque je passais chez elle en fin d'après-midi : rien.
Elle n'était pas chez elle. Bizarre, ce n'était pas dans ses habitudes.
Je lui laissais un mot sous la porte, mais rien non plus le soir, pas de coup
de fil, pas de visite.
Rien non plus le lendemain, ni le surlendemain. Je décidais de repasser
chez elle. Elle m'accueillit froidement comme jamais elle ne l'avait fiat.
Je fis semblant de ne rien voir, ni comprendre et je fis comme d'habitude,
mais rien ne passait. Je n'avais aucun retour de sa part.
- Ecoute, il vaudrait mieux que
l'on ne se voit plus pendant un moment, lâcha-t-elle en fin de soirée.
- Tu le veux vraiment ?
- Oui !
Je quittais donc l'appartement dans l'espoir qu'elle changerait d'avis prochainement.
Mais la garce tint bon. Pas d'appel, pas de visite, je devenais folle. Je
passais même le week-end suivant, seule, en discothèque. Je ramenais
un gars à la maison, mais après l'amour, je le mis à
la porte presque aussitôt.
Je n'avais éprouvé presque aucun plaisir : en fait, je me dégouttais.
J'étais une salope et CHRISTINE me le faisait payer.
Comment faire alors pour lui redonner confiance en moi ?
Je ne pouvais pas me passer d'elle
et, d'un autre coté, j'aimais trop les hommes et je ne pouvais me retenir
lorsque j'en voyais un avec elle. Les semaines passèrent lentement.
J'étais triste, même mes collègues le voyaient. Je décidais
même de me confier à l'un d'entre eux. Sa réponse orienta
mon avenir sans que même jamais il ne le sache.
Bon ! Pour un homme, ce serait
facile, il pourrait toujours faire un nud avec sa queue et hop plus
de problème ! Chaste comme un moine, mais pour une femme je ne vois
pas comment elle pourrait éviter de se faire mettre, y a rien pour
fermer l'entrée ou alors fait-toi poser un gros cadenas à l'entrée
C'était évidemment
une blague de sa part.
Mais le soir sa phrase me hanta
et je n'eus de cesse avant de trouver une solution à mon problème
de nymphomanie en présence de CHRISTINE.
Euréka ! Voici la solution
il me faut une ceinture de chasteté !
Aussitôt dit aussitôt
fait.
A ce moment Internet ne faisait
pas encore fureur et me fallut franchir quelques portes de sex-shop afin de
me procurer des magazines susceptibles de m'aider. Apres quelques semaines
de recherche, je tombais enfin sur une association de fans de ceintures de
chasteté. Je pris contact avec le président.
En le rencontrant après un voyage de près de 500 km, il fut
surpris par ma démarche. Je compris aussi assez rapidement que dans
son association c'était surtout des hommes qui étaient emprisonnés
dans des ceintures de chasteté et que les femmes y étaient très
rares et discrètes. Il m'aida cependant dans ma recherche et me proposa,
sur photo, plusieurs modèles. Bien que des fournisseurs européens
existent, je choisis de me rendre aux USA pour trouver mon bonheur. Ayant
cassé ma tirelire, je pris un vol charter pour N-Y. Pas trop cher heureusement
! La bas, je me rendis à l'adresse indiquée et fus très
bien reçue. Je leur expliquais mon problème. Je parlais à
des inconnus de mon problème sans honte aucune, incroyable non ? En
fait, ils avaient du en voir d'autre. Je fus rapidement servie. Je rentrais
même avec mon bijou dans le coffre. Enfin presque. Ils me l'ont envoyé
par la poste pour que je puisse passer la frontière sans trop de questions.
En effet, comme mon seul souhait était d'empêcher la pénétration
d'une bonne queue dans ma chatte et pas du tout de m'empêcher de me
masturber, par exemple, les ajustements n'allaient pas devoir être aussi
serrés que d'habitude et il avait donc des modèles en stock.
Comme de plus mes mensurations étaient assez standards, ils trouvèrent
une ceinture à ma taille.
Souvent, m'expliquèrent-ils,
ce sont des hommes qui achètent cette ceinture à leur femme
qui ne la met en fait jamais ou presque. Parce que ce n'est, en fait, que
la résultante de leur propre fantasme et que leur femme après
une heure dans la ceinture n'a qu'une envie : l'enlever. Les vrais femmes
soumises sont rares et celles qui acceptent vraiment de porter un tel bouclier
le sont encore plus. En fait, comme en Europe, ce sont surtout des hommes
qui s'en achètent. Mais il leur fallait aussi des modèles femme,
cela attirait la clientèle. Et puis après tout : s'ils vendaient
le modèle et que celui-ci finissait au fond d'une malle quelle importance,
businness is businness !
Mon choix se porta donc sur un modèle assez simple. Une ceinture à
la taille suffisamment serrée pour ne pas la perdre ou pouvoir l'enlever
seule et un bouclier qui descendait entre mes cuisses pour se finir par deux
chaînes plates assez larges qui passait sur mes fesses. Sous un pantalon
tout se voyait, mais sous une jupe, on ne distinguerait presque rien. Mon
choix, me dit le vendeur, se révélera raisonnable. En effet,
avec ce modèle aucun homme ne pourra me pénétrer par
devant et très difficilement par l'anus. Comme je n'étais pas
une folle de la sodomie, cela m'allait bien. Par contre, comme je ne cherchais
pas à me protéger de la masturbation, l'ensemble n'était
pas trop serré et je devais pouvoir le supporter plusieurs heures.
Ce commentaire du vendeur me surprit. Je pensais que ces ceintures devaient
se porter des jours ou des semaines, pas des heures. Il me répondit
que si, déjà, j'arrivais à la supporter 24 h, je ferais
partit des meilleures. Que je verrais à l'usage et que l'hygiène
serait malgré tout un problème. Il faudrait bien me sécher,
bien m'essuyer. Que je devrais changer mes habitudes et utiliser un sèche-cheveux
pour plus de sûreté. Je fus assez surprise, mais rien n'y fit,
je fis l'achat.
Rentrée en France, je dus
encore attendre 8 jours et lorsque le facteur sonna à ma porte : c'était
bien ma ceinture pas de problème !
Plutôt que de la tester, j'étais tellement contente que je courus
chez CHRISTINE avec mon cadeau. Arrivée à sa porte, je la suppliais
de me laisser entrer. Pendant plus d'une heure, je lui demandais de me pardonner,
je lui promis de ne plus recommencer et de ne plus toucher avec aucun de ses
prétendants. Evidemment, elle ne me crut pas. Comme pouvait-elle le
faire, elle me connaissait trop bien !
Alors je sortis ce que pensais être mon joker et passais sur la table
mon petit paquet.
- Ouvre-le, lui dis-je
- Qu'est ce que c'est ?
- Une ceinture de chasteté
!
- Mais qu'est-ce que c'est cette
histoire ?
Je dus encore m'expliquer une heure,
puis à court d'argument, je quittais son appartement. Elle ne me raccompagna
même pas à la sortie. J'étais désespérée.
Elle ne voulait plus de moi et en plus j'avais claqué presque toutes
mes économies pour un bout de métal sans usage.
Plusieurs jours passèrent. La vie devenait triste et monotone pour
moi.
Puis un soir, en rentrant des courses, j'aperçus CHRISTINE devant l'entrée
de mon immeuble.
- J'accepte
- Tu acceptes quoi ?
- J'accepte ta proposition
- Quelle proposition ?
- Et bien celle de ta ceinture !
Je voulus lui sauter au cou, mais
elle m'en empêcha.
- A demain donc, me dit-elle,
à 3 heures tapantes chez toi, on ira faire des courses ensembles, on
fera du shopping !
- Super !
Je passais enfin une bonne nuit
et je fus à 3 heures chez elle. Nous étions samedi et il faisait
beau que demandait le peuple ?
- Tu veux vraiment ressortir avec moi ?
- Bien sur et comment !
- Bon, alors assied-toi et écoute-moi. J'accepte ta proposition, mais
pas de blagues : à la première incartade, tu ne me reverras
plus jamais, jamais c'est bien d'accord ?
- D'accord
- Alors on y va ?
- Pas si vite, tu n'oublies rien ?
- Mince la ceinture, si bien sur
- Alors hop ! Enlève ton pantalon, on va l'essayer tout de suite. Ensuite
on ira en ville t'acheter quelques fringues pour aller en boite ce soir
- Je veux bien, mais je suis fauchée, j'ai cherché ce truc aux
USA et maintenant je suis raide
- Ne t'inquiète pas, je vais te faire crédit. Alors, tu te désapes
ou quoi ?
Pour la première fois,
CHRISTINE me passa la ceinture par-dessus mon slip, puis elle referma le bouclier.
- Tu veux peut-être aller
pisser auparavant, car après ce ne sera plus très pratique
- Oui, je veux bien
- Par la suite, tu devras la porter à chaque fois que nous serons ensemble,
combien de clé as-tu ?
- Deux
- Bien je les garde toutes les deux, ainsi une fois fermée, seule moi
pourrais te délivrer
- Bon si tu veux
- Tu peux te branler avec ?
- Je ne sais pas, c'est la première fois que je la porte vraiment
- Bon on verra de toute façon cela n'a pas d'importance, seul compte
le fait que personne ne puisse te baiser. Allez couche-toi sur le lit, je veux
voir.
CHRISTINE me poussa en arrière
sur son lit et me demande de maintenir mes jambes en arrière. Elle sortit
alors de son armoire un godemiché
- Bien ça alors, c'est
à toi ?
- Bien sur et comment crois-tu que je me satisfais, certainement pas avec
les hommes que tu me piques, mais c'est fini maintenant n'est ce pas, N'est-ce
pas ?
- Oui CHRISTINE, je te le promets !
- Mais alors répond !
Avec le gode, elle testa toute
sorte d'intromissions possibles. Elle testa même mes fesses. J'acceptais
de bonne grâce ce test, car je voyais dans ses yeux qu'il n'y avait
aucune connotation sexuelle à ses gestes : elle vérifait simplement,
scientifiquement dirons-nous, le bouclage de mes orifices.
- Dis-moi dans le trou du cul,
c'est possible de rentrer, y pas un bouclier plus long vers l'arrière
?
- Si, mais je ne pensais pas en avoIr besoin, tu sais, je ne suis pas très
portée sur la sodomie
- Dommage, tu perds quelque chose, mais ça ira pour le moment, allez
r'habit-toi, nous avons à faire
Je remis mon pantalon. Cela ne
fut pas très aisé et maintenant j'avais un drôle de cul.
Les chaînes se voyaient au travers du jeans et devant ce n'était
pas terrible du tout. Avec cette taille basse, la ceinture dépassait
et faisait un renflement sous le pull. -
- Pas terrible, hein ? lui dis-je
- Non pas terrible, mais on va améliorer ça dans quelques heures,
allez, tu viens ?
Les premiers pas furent difficiles,
quelle conne d'avoir mis un pantalon. J'étais serrée, mal à
l'aise et tout se voyait. J'étais pour tout dire assez gênée,
mais CHRISTINE semblait, elle, très contente.
A peine arrivée en ville,
elle entra dans un grand magasin et me traîna au rayon femme.
- Un pantalon ça ne va plus,
il te faut une jupe.
Et elle choisit pour moi une jupe
très classique, plissée en bleu marine
- Tu es folle, c'est totalement
ringard, je ne vais pas mettre ça ?
- Si et tout de suite s'il te plait, et s'adressant à la vendeuse :
Mademoiselle, ma copine aimerait essayer la jupe
- Bien suivez-moi, vous avez des cabines au fond du rayon.
- Et ce chemisier aussi...
Elle choisit encore un chemisier
col Claudine. La jupe passait en dessous de mes genoux et le chemisier, elle
me le ferma jusqu'au cou.
- C'est bon, elle va le garder
sur elle, fit-elle à la vendeuse, vous pouvez garder son jean, elle
n'en aura plus besoin.
Je voulus protester, mais le regard
autoritaire de CHRISTINE m'en empêcha. Je baissai donc les yeux en signe
d'approbation et la vendeuse jeta mon jean dans un coin.
- Il vaut au moins 500 balles, dis-je
- Et alors puisque tu ne pourras plus le mettre
- Mais si !
- Non à partir de maintenant, je choisis ta garde robe et je te dis que
tu ne mettras plus de pantalons, un point, c'est tout ! Et puis ta ceinture
se verrait de trop et puis ne discute plus s'il te plait. Tu voulais sortir
avec moi ?
- Oui
- Alors ce sont mes conditions
- Tu acceptes ou tu veux rentrer de suite ?
- Bon, bon ne te fâches pas
- Je ne me fâche pas, je suis très calme et sereine, pour la
première fois peut être, alors pas de problème ? On continue
?
J'étais maintenant en jupe
bleu marine plissée et chemisier semi-transparent blanc sur soutien
gorge noir, super !
Aux pieds j'avais mes boots et les jambes nues.
- On va arranger ça, me dit-elle
Au rayon collant, elle m'acheta
plusieurs paires de collants opaques, couleur chaire et ensuite une paire d'escarpins
à talons plats, plats, plats. Elle donna de même mes boots à
la vendeuse et me fusilla du regard lorsque je voulus ouvrir la bouche.
J'étais subjuguer, soit par
son aplomb, soit par ma soumission à ses ordres, mais je ne réagissais
pas.
Je compris qu'elle ne voulait plus de ma concurrence et qu'elle avait tout
fait pour me transformer en une femme totalement passe-partout et insipide.
J'avais de grand pieds et avec ces barquettes aux pieds, ils paraissaient
encore plus immenses. CHRISTINE le savait, j'en étais sure. J'étais
complexée par la taille de mes pieds : du 40. Bon pour 1.70 m cela
allait, mais seulement avec des talons hauts, afin de raccourcir la longueur
apprente de mon pied.
Maintenant à talons plats,
j'avais l'impression de ne plus voir que mes pieds. Collant opaque 40 deniers
et barquettes à 90°, j'avais l'impression que mes pieds n'en finissaient
plus.
- Tu n'es pas à laisse
dans les chaussures, on dirait, elles sont peut être trop serrées,
tu touches devant peut être, tu veux la taille au-dessus peut être
?
- Non surtout pas cela me va très bien
- Alors on les prend, m'avait-elle dit
Elle ne me laissa plus rentrer chez moi et c'est donc dans cet accoutrement
que nous nous présentâmes en boite. Elle, par contre, était
rentrée chez elle se changer et s'était mise sur son trente
et un. Elle portait même des talons hauts afin d'arriver à ma
hauteur. Elle s'était remaquillée, pas moi. J'avais juste eu
le droit d'aller pisser avant qu'elle ne referme la ceinture sur mon slip.
Devant ma honte, je l'avais presque oubliée celle-ci, mais maintenant
après plusieurs heures de port ininterrompu, je commençais à
de moins en moins la supporter et maintenant j'étais en route vers
la boite et encore un boite où j'étais connue.
Le portier crut sans doute à une blague en me voyant et me railla sur
ma tenue, ce qui n'arrangea rien.
Dans la boite, CHRISTINE me poussa
à aller danser, mais le cur n'y était pas. J'étais
très mal à l'aise. CHRISTINE par contre s'amusait comme une
folle. Elle draguait à tout va. Elle accrocha un type, pas terrible,
mais le problème n'était pas là. Pour moi rien, pas une
touche ! Personne ne m'invita pour un slow, pas même mes copains habitués
de la boite.
L'un d'entre eux me sortit même
:
- Et SARAH, tu as piqué
les collants de ta mère ou quoi ?
Je haussais simplement les épaules
et CHRISTINE se marra bruyamment.
CHRISTINE fit tout pour ramener
son type à la maison et y parvint. Elle trouva une excuse pour ne pas
me ramener directement chez moi et je dus donc passer le reste de la nuit
dans le salon sur le canapé. Elle ne jugea pas utile de fermer la porte
de sa chambre
pour la nuit.
Je fis pipi dans ma culotte puisqu'elle
avait gardé les clés et je dus garder la culotte mouillée
jusqu'au lendemain. Pendant le petit déjeuner, je vis bien que son copain
de la nuit me regardait de travers car je sentais la pisse. CHRISTINE ne consentit
à m'enlever la ceinture qu'une fois son compagnon parti.
Super soirée, ce mec était
un coup d'enfer, je suis sur que tu aurais aimé.
Comme les magasins étaient
fermés le dimanche, CHRISTINE m'emmena ensuite chez sa mère et
y piqua quelques robes, jupes et chemisiers. Je compris à son sourire
que c'était pour moi.
Je me rendis donc à mon travail
lundi avec mon chemisier transparent sur S-G noir, ma jupe plissée
bleu marine, mon collant opaque couleur chaire et mes chaussures à
plat talons. L'indifférence de mes collègues dans l'ensemble
me subjugua, il y en eut même un qui me dit que c'était mieux
pour le boulot ma nouvelle tenue.
Ah le con !
Dès le lendemain, je revins
au boulot dans mes tenues plus sexy. Je ne reçus aucun appel de CHRISTINE
de la semaine. Je crus bon de passer la voir vendredi soir. Vers 19h j'étais
donc devant sa porte en sortant du boulot.
A peine avais-je passé le
pas de la porte que je reçus d'elle une claque.
- Non, mais comment oses-tu encore
te présenter devant moi dans cette tenue. Je pensais que nous nous étions
mises d'accord et tu viens me narguer.
J'étais tellement choquée
et surprise que rien ne sortait de ma bouche.
- Tu as deux heures pour revenir
dans une tenue correcte, sinon je ne veux plus te revoir, jamais !
Et elle me prit par le bras et me
jeta hors de son appartement.
Hébétée, je
suis restée un bon moment, collée au mur du couloir dans le noir.
Non, mais qu'avais-je bien pu faire pour la mettre dans une telle colère.
Ah ! Bien sur, je savais ce qu'elle voulait. Et c'est en pleurant que je suis
remontée dans ma voiture.
Arrivée chez moi, j'ai
arraché les habits que je portais et me suis mise complètement
à poil. Je suis restée encore cloîtrée et prostrée
un bon moment. Puis j'ai ouvert mon armoire et j'ai sortit la tenue que nous
avions achetée la semaine dernière. J'ai tout allongé
sur mon lit. Puis résignée, j'ai religieusement enfilé
mes dessous noirs, puis remonté mes chers collants opaques couleur
chaire et puis vinrent le chemisier, que je boutonnais jusqu'en haut, puis
enfin la jupe plissée d'un bleu marine affligeant. Le plus dur fut
pour moi de sortir de derrière l'armoire ces horribles escarpins de
daim noir à talon plats qui allaient me faire des pieds plus longs
que le nez de Cyrano.
Avec un immense soupir, je glissais mes pieds dans ces barquettes. Et sans plus
jamais les regarder, je me remis en marche pour retourner chez CHRISTINE.
Elle m'attendait.
- Ah ! C'est mieux, beaucoup mieux
je vois que tu deviens raisonnable. J'aimerai que nous allions faire les boutiques
demain afin que je puisse m'acheter un petit ensemble pour aller draguer en
boite, ça te dit ?
- Oui bien sur, répondis-je, sans trop d'enthousiasme
- Je ne te sens pas très enthousiaste, répondit-elle sur un ton
ironique
- Si, si, me repris-je en lui lançant le plus beau sourire que je pouvais
faire à ce moment.
- Bon et si nous allions manger un morceau et ensuite boire un pot au Blue Night,
ça te va ?
- Oui bien sur, dis-je avec un sourire obligé.
Je n'arrivais pas vraiment à
passer par dessus mon humiliation de tout à l'heure et en même
temps, je ne pouvais pas lui dire non. J'étais victime consentante de
son jeu, sans totalement l'approuvé, mais sans pouvoir également
le rejeter.
Mais avant nous devons parer à
toute éventualité, alors tu veux bien relever ta jupe que je t'équipe
?
Que tu m'équipe, ah oui bien sur
Mais ou avais-je donc la tête.
Il me manquait encore l'accessoire essentiel, le gage de ma bonne foi en vers
CHRISTINE : ma ceinture de chasteté.
Elle revint de sa chambre avec l'objet
en question.
- Tu préfères garder
ton slip ou bien ?
Le souvenir de samedi passé
avec mon slip plein de pisse et cette odeur, me fit répondre :
- Non, je préfère
la porter à même la peau.
- A la bonne heure, je pense que
tu as raison, c'est plus esthétique.
Esthétique, n'est pas le
mot que j'aurai employé, mais maintenant avec CHRISTINE, tout était
décalé et il fallait tout comprendre avec un brin d'ironie ou
de méchanceté.
Une fois bouclée dans ma
ceinture, je mis un moment à m'habituer à la froideur du cuir
qui gainait l'intérieur afin de protéger mon corps de la morsure
de l'acier. CHRISTINE mis la clé autour de son cou et maintenant pleinement
rassurée me prit par la taille pour m'entraîner rapidement au
dehors, le sourire au coin des lèvres.
Nous prîmes sa voiture et
allâmes en ville. Elle s'arrêta et se gara loin du restaurant. Nous
fîmes donc la route à pied et elle flânait d'un restaurent
à un autre. Elle se décida enfin pour notre pizzeria préférée.
Mario nous accueillit avec le sourire
- Une table pour deux, vous êtes
seules mes mignonnes ?
- Oui toutes seules, mais ça
ne va pas durer, n'est ce pas SARAH ?
- Non, non ça ne va pas durer,
ça c'est sur.
Alors que tout se passait normalement,
moi je n'étais pas très à l'aise. Je ne savais pas comment
me comporter ou me mettre. D'habitude j'aimais bien faire l'idiote pour me mettre
ne valeur, que l'on me remarque, que les hommes me remarquent. Mais dans la
tenue où j'étais j'avais peur de leur faire peur.
- Allez SARAH, fais-moi plaisir
souris et amuse-toi. C'est comme avant, nous sommes de nouveau copine, alors
je veux que l'on rigole toutes les deux.
Elle avait raison. Pourquoi ne pas
essayer de s'amuser ? Après tout, beaucoup de femmes dans ce restaurant,
étaient aussi mal fagotées que moi et elles, elles n'y étaient
pas obligées. Après tout, aujourd'hui, le mauvais goût est
monnaie courante.
Je décidais donc de me lâcher un peu, puis un peu beaucoup.
Nous sortîmes donc du restaurant
en riant comme avant.
Arrivées au bar, Mike le serveur, nous installa comme d'habitude sur
l'estrade, à côté du juke-box. De là, on pouvait
voir toute la salle et surtout voir arriver les nouveaux. Comme d'habitude,
nous passâmes notre temps à critiquer toutes les filles qui entraient
avec leurs mecs. Nous bûmes un petit peu et la soirée fut très
sympathique. De retour, CHRISTINE me lâcha :
- Tu vois quand tu veux, il n'y a pas de problème. Allez à demain
vers 14h pour faire les boutiques et ne me déçois plus, hein ?
Je fis oui de la tête.
Je soulevais ma jupe et lui indiqua le morceau de métal entre les cuisses.
- Alors pas trop inconfortable ?
- Non, ça va !
Elle encastra la clé et me
libéra de ma gangue d'acier. Je courus aux toilettes. Je m'étais
retenue pour ne pas salir ma ceinture.
- La prochaine fois, je t'interdis
de te retenir, c'est très mauvais pour tes reins, alors pas de blague,
elle est prévue pour que tu puisses pisser, non ?
- Oui, bien sur
- Alors ?
- Tu as raison.
- A demain.
Je rentrais chez moi en me posant
mille questions. Sans en attendre la réponse, je m'endormis et dormis
du sommeil du juste jusqu'à 11h.
Petit déjeuner, puis un
brin de toilette. Il était 13h, j'étais encore à poil
dans l'appartement. L'heure du RDV approchait et je ne savais quoi mettre.
Je décidais d'enfiler une robe de sa mère afin de changer de
cette jupe bleue marine. Le choix fut difficile. Rien n'était vraiment
sexy. Pour moi tout du moins. Je fis par choisir une robe marron, style robe
de bure avec des larges bretelles. Elle m'arrivait juste aux genoux. En haut
je mis un petit pull à col roulé avec des manches longues. Je
dus ensuite me résigner à enfiler ce maudit collant opaque couleur
chair et puis, je me résolus à mettre des basquets. Les baskets
étaient blanches. Bon ce n'était pas terribles, mais au moins
j'évitais les barquettes de la dernière fois !
A 14h, CHRISTINE sonna à ma porte.
- Tu es prête ? , Laisse-moi
voir, bien je vois que tu fais des progrès. Allez maintenant relève
ta jupe ! J'aimerai qu'à l'avenir, je ne sois plus obligée de
te le dire, tu comprends ?
- Oui, CHRISTINE, je comprends
Et je m'exécutais. Elle
sortit de son sac ma ceinture de chasteté et me demanda de monter sur
une chaise.
-Tu ne voudrais quand même
pas que je me mette à genoux devant toi, non, bien sur ?
Je cherchais donc une chaise pour
mettre ma chatte à sa hauteur. Elle me boucla et me laissa le soin de
rabaisser ma jupe.
- Ah au fait, tes baskets c'est
pas terrible avec cette jupe, mets plutôt tes jolis escarpins que je
t'ai achetés, tu veux bien ?
L'échine courbée,
je savais qu'il n'y avait rien à faire, je ramenais donc ces fameux
escarpins et bientôt ils furent à mes pieds.
- Bon, il n'y plus qu'à
!
Et sur ce nous partîmes en
ville. Il faisait beau. Nous fîmes les magasins pendant 4 heures et
CHRISTINE essaya une tonne de tenues diverses. Elle rentra finalement avec
une minijupe, des bottines à talons hauts bobines et un petit haut
fantaisie qui irait bien avec sa petite veste boléro. Le tout dans
des couleurs gaies et chatoyantes.
Elle passa ensuite le reste de la soirée à se préparer
et maquiller. Ella me prêta son mascara, mais me refusa fond de teint
et rouge à lèvre. C'est ainsi que, elle sur son trente et un,
et moi dans ma tenue de petite bourgeoise coincée, nous arrivâmes
en boite. Cette fois, je décidais tout de même de danser et de
m'éclater. Le reste se déroula ensuite de la même manière
que le samedi précédent, les odeurs en moins le lendemain matin.
De nouveau, elle ramena un homme chez elle et je dus tenir la chandelle. Elle
fit l'amour aussi bruyamment que possible. Je n'avais jamais remarqué
à quel point c'était désagréable d'entendre une
femme jouir de cette façon, d'ailleurs, et pourtant Dieu sait que je
lui avais fait le coup plus d'une fois
CHRISTINE me libéra donc de ma ceinture vers midi. Son mec venait de
partir.
- Si tu veux, je peux te prêter
un gode
- Non-merci
- Il ne faut pas que tu ais honte
!
- Mais je n'ai pas honte, je n'ai
juste pas envie
- Bon ne te fâche pas, allez,
je le mets dans ton sac, tu me rendras la prochaine fois, n'oublie pas !
Et elle me mit à la porte.
Je rentrais chez moi. Je pris une
douche, je me mise à poil et passais l'après midi devant la télé.
Ce n'est qu'au lit le soir que je pris la décision de me masturber, mais
tout en dédaignant le godemiché de CHRISTINE. EN fait, je n'étais
pas très fan de ce genre de leurre, je préférais le vrai
en chair et en os. Par contre, je n'avais rien contre un petit doigté
amical et c'est ce que je fis. Je pris mon pied plusieurs fois.
Mercredi, CHRISTINE m'appela pour aller manger ensemble. RDV à midi.
Je dus donc m'habiller en conséquence : jupe campagnarde qui tombait
au sol, chemisier boutonné jusqu'en haut, collant opaque couleur chair
et talon plat. Mon maquillage aussi, je le fis discret en couleur pale. Elle
m'attendait en bas de mon immeuble de bureau.
- Bonjour CHRISTINE, sympa de venir
me chercher pour déjeuner
- Il y a des toilettes dans ton immeuble ?
- Oui en bas, pourquoi tu as envie
- Non, mais toi j'en suis sure
Je la suivis aux toilettes
- Relève ta jupe
- Pas
ici, quelqu'un peut rentrer et puis on en a juste pour une heure pas plus
- Pour une heure ou moins, je
te veux toujours bouclée en ma présence et puis, je n'aime pas
que tu discutes sans cesse. Je vais devoir te punir pour cela. Tu passeras
ce soir me voir après ton boulot.
- Mais ?
- Pas de mais, STP, et relève
maintenant cette jupe ou je sors te la mettre dans le couloir.
Je n'avais pas envie de discuter,
alors j'obtempérai une fois de plus. CHRISTINE me boucla, non sans
avoir enlevé mon slip auparavant.
- Ces slips ne vont plus du tout
avec ton look, il va falloir remédier à ce problème, tu
ne crois pas ?
- Mais ils sont très bien
mes slips
- Plus maintenant, plus maintenant
ma chérie.
Bouclée, je ressortis des
toilettes en lui tenant la main. Nous mangeâmes rapidement dans un restaurant.
Puis sur le chemin du retour, elle s'arrêta rapidement dans une galerie
commerciale et ressortit avec un petit paquet.
De retour dans les toilettes de mon bureau, elle me tendit la clé et
je fis tomber le bouclier d'acier. Elle le cacha dans son sac.
- Ma culotte, CHRISTINE
- Ah oui la voilà
Et elle tira de son sac une large
culotte de coton blanc style petit bateau
- Elle n'est pas à moi
!
- Maintenant si, mets-la quelqu'un
arrive !
Et elle me la fourra dans la main.
Je n'eus d'autre recours que de la mettre. Elle était confortable et
à ma taille, mais pas sexy pour un sous. Merde alors, elle exagère,
pensais-je tout bas.
- Allez à ce soir et ne me
fais pas attendre.
Le soir, je me rendis avec appréhension
à son RDV. J'avais raison. Elle n'y alla pas par quatre chemins :
SARAH, je te l'avais dit et tu n'as pas obéit, maintenant je vais te
donner une fessée comme aux méchantes petites filles. Tu peux
bien sur dire stop et t'en aller. Mais si tu veux aller au bout de ton contrat
alors tu vas sagement te mettre à quatre pattes, relever ta jupe dans
le dos et baisser ta culotte sur les genoux. Je te laisse 30 secondes pas plus
pour te décider. Une, deux, trois,
A 29 secondes j'étais sur
mes genoux. Pourquoi ? Ne me le demandez pas, mais j'y étais.
- Ouvre la bouche, je ne veux pas
que tout l'immeuble t'entende !
Et elle me fourra en bouche un baillon-boule
comme j'en avais vu dans certains films pornographiques américains un
peu chauds.
CHRISTINE s'empara alors d'une badine assez courte et m'asséna 5 coups
secs sur ma croupe. Ce fut seulement lorsque le cinquième coup s'abattit,
que la douleur se fit insupportable et que je me mis à hurler de douleur.
Heureusement le bâillon étouffa une partie de mes hurlements.
- Cela ne m'impressionne pas, me
dis froidement CHRISTINE. Relève-toi, redescend ta jupe, remet ta culotte
et file. Je ne veux plus te voir pour ce soir.
Tout le long du retour à
ma voiture, je sanglotais et me massais les fesses. Je venais de recevoir
une fessée comme jamais, qui plus est de ma meilleure copine et je
n'avais rien fait pour l'en empêcher, pourquoi ?
Je ne trouvais de nouveau aucune
réponse et après une nuit de sommeil agité, je repris ma
journée de travail, des cernes autour des yeux et le cul plutôt
endolori. Je ne pris qu'une résolution. Je ne contrarierai plus CHRISTINE
car je ne voulais plus vivre cette humiliation de la fessée, ni sa douleur
d'ailleurs. En cela elle avait au moins gagner quelque chose.
La semaine qui suivit, CHRISTINE
ne me contacta pas. Elle débarqua cependant chez moi vendredi soir vers
21h. J'étais déjà prête à me coucher. Elle
me dit qu'elle aimerait bien aller prendre un verre. Je lui dis OK. Je lui demandai
10 minutes pour me préparer. Je ne pensais même pas à me
remaquiller : c'était inutile !
Rapidement j'ouvris mon armoire et enfila une jupe gitane avec un petit chemisier
en soie. Je fis une queue de cheval grossière avec mes longs cheveux
et n'oublia pas de mettre mon collant opaque couleur chair. Sans un ordre de
CHRISTINE, je me présenta à elle et souleva instantanément
ma jupe pour lui donner libre accès à mon entre jambes.
- C'est bien, mais sur la chaise,
ce sera mieux
Je montais alors sur une chaise,
elle me descendit les collants jusqu'aux genoux et vint fixer ma ceinture de
chasteté autour de mes hanches, puis de mon pubis.
- Tu vois comme cela peut être
simple.
A partir de ce jour, nous passâmes
plusieurs mois de grande quiétude. Je m'habituais à mon sort
et à son jeu. Tout redevenait normal. La semaine, sauf les jours où
CHRISTINE venait déjeuner avec moi, je m'habillais normalement, les
week-ends, nous allions en boite et presque tous les samedis, elle ramenait
un garçon à la maison et me laissait attendre dans son salon.
Cela était devenu une telle routine que je ne m'en offusquais presque
plus. Je n'étais même pas vraiment jalouse. Oh ! Bien sur, au
début, j'aurais voulu être au lit à sa place, mais l'envie
s'estompa progressivement. Oh ! Ne croyez pas que je devenais vraiment chaste,
juste, je ne lui piquais plus ses copains. Il faut dire que dans mon accoutrement
j'aurais eu du mal !

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